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/avant même le commencement

Avril 1996...
Trois personnes sont en voyages en Sicile et guidés sur place par Carlo, un ami sicilien, ils visitent son orangeraie et découvrent alors la qualité et le goût unique des oranges cultivées à Ribéra. Des oranges mûries au soleil, à l'arôme sucré et dont aucun engrais ou autre fertilisant n'a perverti le goût. De véritables fruits originaux ! Les trois voyageurs sont séduits mais également frappés de voir qu'au mois d'avril un grand nombre de fruits sont encore sur les arbres de certaines orangeraies, dont celle qu'ils visitent.
L'ami sicilien qui les guide, leur confirme qu'à cette époque de l'année les fruits devraient être cueillis et leur explique aussi ce qui entrave cette récolte : le cours.
Oui, parce que l'orange a un cours. Comme les monnaies, les minerais ou le pétrole, l'orange a un cours. N'allez pas imaginer une salle de marché avec un grand tableau d'affichage électronique, non, ce n'est pas Wall Street ! Mais l'orange a un cours, un prix de vente moyen fixé par des professionnels, évidemment, et qui s'affine comme toujours en fonction de l'offre et de la demande. Ajustement basique de l'économie de marché. Et malheureusement pour cet ami sicilien et pour bien d'autres comme lui, la demande est bien trop faible et donc le prix beaucoup trop bas pour rentabiliser les frais de récolte. Carlo annonce que les fruits resteront donc sur les arbres jusqu'à ce que la nature face son travail et que les oranges tombent d'elles-mêmes… le privant du même coup de sa source principale de revenu pour vivre et entretenir malgré tout ses arbres.
Ne pouvant se satisfaire de la situation dans laquelle leur ami se trouve, les trois voyageurs sont bien décidés à apporter leur aide, convaincus que des fruits d'une telle qualité, d'une telle saveur feraient la joie et le bonheur d'un grand nombre de familles françaises…
Sans prononcer les termes de «commerce équitable», le soutien qui se profile déjà dans l'idée des visiteurs permettra à chacun de trouver sa part sur un modèle semblable :
D'une part, les amis de Sicile travailleront dans leurs orangeraies avec la certitude d'écouler leur production et de vivre de leur travail,
D'autre part, les consommateurs français qui le souhaitent, autrement dit vous, vous gagnerez à consommer un fruit délicieux dont nous vous garantissons l'origine, la qualité et la fraîcheur.
Ainsi, chacun tirant un avantage de cet échange, il est plus juste de parler de «commerce réciproque».
Les vitamines de votre hiver sont le bonheur de leur année.